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Protégeons les jeunes utilisateurs des dangers d’Internet

La protection numérique des jeunes, un des aspects que nous avons analysés dans l’enquête que nous avons lancée sur la cybersécurité.

Avec le début de la nouvelle année scolaire, les parents sont confrontés à la tâche passionnante, mais parfois difficile, de préparer leurs enfants à la rentrée des classes.

Si l’achat des fournitures scolaires, le choix des vêtements et l’organisation des emplois du temps sont importants, nous devons également nous concentrer sur un aspect crucial de la vie des enfants et des adolescents d’aujourd’hui : leur présence sur Internet et leur sensibilisation aux dangers qui en découlent.

L’ère numérique a apporté d’innombrables avantages à l’éducation avec l’introduction d’applications telles que Kahoot, ClassDojo ou Klassly. C’est pourquoi il est essentiel que les parents soient prêts à relever les défis posés par l’utilisation d’internet par leurs enfants.

Huit parents sur dix ayant des enfants de moins de 18 ans sont très ou assez préoccupés par ce que font leurs enfants lorsqu’ils se connectent, selon « l’Observatoire de la cybersécurité sur Internet » réalisé par Panda Security, ce qui fait de la France le deuxième pays dont les citoyens (91,30 %) contrôlent le mieux l’utilisation d’Internet par leurs enfants.

Dangers que les enfants peuvent rencontrer sur Internet

L’OMS a déclaré que les enfants de moins de 2 ans ne devraient pas être exposés aux écrans, que les enfants de 2 à 4 ans peuvent passer jusqu’à 1 heure par jour sur Internet et que les enfants de 5 à 17 ans ne devraient pas passer plus de 2 heures par jour sur Internet.

Ces recommandations sont formulées sur la base des dangers rencontrés en ligne, tels que la cyberintimidation, la découverte de contenus inappropriés ou le partage d’informations personnelles. 

Les dangers mentionnés n’affectent pas seulement les enfants, mais il est vrai qu’avec des outils tels que ceux que nous proposons chez Panda Security, nous pouvons les empêcher de souffrir de ce type de problèmes, car c’est la facilité d’accès à Internet qui finit par créer des dangers pour ces personnes plus vulnérables.

Lire aussi : Selon une nouvelle étude, les jeunes internautes sont souvent inconscients des dangers de l’Internet.

Comment faire face à la cyberintimidation ?

Au fil des ans, le terme « cyberintimidation » s’est immiscé dans nos vies, faisant la une des magazines et les gros titres des journaux télévisés. Ce problème s’est banalisé, notamment en raison de la facilité d’accès à Internet pour tous.

La cyberintimidation désigne l’envoi, la publication ou le partage de contenus négatifs, nuisibles, faux ou cruels concernant une autre personne. Il peut s’agir de partager des informations personnelles ou privées sur une autre personne, de l’humilier ou de l’embarrasser.  

Les données recueillies dans le cadre de notre étude montrent que les personnes interrogées qui ont des enfants sont très ou assez préoccupées par ce qu’ils pourraient faire lorsqu’ils sont en ligne; les plus inquiets étant ceux qui vivent en Espagne, en France ou en Italie. 

Malgré la prise de conscience des dangers d’Internet dans notre pays, la France est le deuxième pays avec le pourcentage le plus élevé de répondants (11,96%) qui indiquent que leurs enfants ont été victimes de cyberintimidation

En ce qui concerne les mesures adoptées par les parents lorsqu’ils se rendent compte que leurs enfants sont victimes de harcèlement, nous constatons qu’elles vont du dialogue direct avec la personne impliquée, au dialogue avec les parents de la personne à l’origine du harcèlement, en passant par le fait de laisser l’enfant se défendre seul, de signaler le problème à la police ou d’ignorer le problème.

Et, bien que faible, il y a aussi un pourcentage de répondants qui ont répondu qu’ils n’ont rien fait pour remédier à la situation parce qu’ils n’étaient pas intéressés.

Les trois mesures les plus utilisées par les parents français pour mettre fin à cette situation sont : parler directement à la personne (47,27%), parler aux enseignants à l’école (40%) et signaler le problème à la police (27,27%).

S’il est vrai qu’il est important d’agir face à ce problème, un autre aspect important est d’accompagner la victime et, si nécessaire, de demander l’aide de professionnels, ainsi que d’utiliser les outils technologiques nécessaires pour détecter et bloquer les nouvelles attaques.

Conseils sur l’utilisation des outils numériques par les mineurs

Hervé Lambert, Global Consumer Operations Manager chez Panda Security, mentionné il est très important de comprendre la transformation numérique que nous avons vécue et que nous vivons.

« La supervision des mineurs dans le monde numérique est l’un des fronts ouverts aux familles, non seulement dans la phase difficile de l’adolescence, mais aussi à des âges beaucoup plus précoces (…) comme l’incorporation du monde numérique dans la salle de classe. »

 

Il est essentiel de comprendre comment la technologie est devenue une partie intégrante de l’éducation. Les salles de classe modernes utilisent des appareils tels que des tablettes et des ordinateurs pour enrichir l’expérience d’apprentissage. Cela signifie que nos enfants sont plus connectés que jamais, tant à la maison qu’à l’école.

C’est là que nous voulons intervenir, en vous donnant des conseils pour que les enfants fassent bon usage des outils numériques.

La première chose à faire, et la plus importante, est de les accompagner, au moins jusqu’à l’âge de 12 ans, en leur apportant soutien, conseils et supervision dans l’utilisation des nouvelles technologies, afin de promouvoir un développement positif qui complète ce qu’ils ont appris à l’école et à la maison.

Au fil du temps, ils acquièrent une certaine indépendance et nous restons à leur disposition pour toute question ou préoccupation. 

Voici d’autres conseils que nous aimerions vous donner :

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